A l’initiative de l’association Les Yeux de l’Ouïe, des cinéastes documentaristes poursuivent une réflexion publique dans un atelier ouvert à tous, une réflexion qui réactive un espace critique susceptible d’explorer la puissance d’un cinéma documentaire s’attachant à renouveler ses formes et son mode de présence au monde.
Dans le cadre d’ateliers de fabrication, trois cinéastes et un artiste plasticien en immersion dans le territoire de Plaine Commune s’associent à des jeunes habitants de La Courneuve, de 16 à 25 ans, et s’emploient à mettre en œuvre un projet de création interrogeant nos manières d’habiter le dedans et le dehors, de vivre et d’imaginer nos espaces intimes et collectifs.
Traversé par le souci de la porosité entre professionnels et amateurs, entre divers cadres ou milieux, le projet “A travers”, mené par l’Association Les Yeux de L’Ouïe, a pour ambition, par-delà les ateliers de fabrication, d’impliquer les habitants de La Courneuve dans une réflexion attentive à l’expression sensible et à sa capacité à faire émerger les énergies créatrices d’actes de vie.
Séance spéciale au Cinéma associatif de la CU Cherbourg, suivie d’un débat avec le réalisateur du film.
Si seulement… est un cycle de programmation élaboré par les membres de l’atelier “En Quête d’autres Regards” depuis la prison de Paris-La-Santé vers le Cinéma MK2 Beaubourg. La projection est amorcée par un court métrage, mise en forme des regards portés sur le film, réalisé par les membres de l’atelier de la prison. A l’issue de la séance, une discussion est ouverte avec la salle autour des films et celle-ci est filmée pour revenir à la prison.
A l’initiative de l’association Les Yeux de l’Ouïe, des cinéastes documentaristes poursuivent une réflexion publique dans un atelier ouvert à tous, une réflexion qui réactive un espace critique susceptible d’explorer la puissance d’un cinéma documentaire s’attachant à renouveler ses formes et son mode de présence au monde.
A l’initiative de l’association Les Yeux de l’Ouïe, des cinéastes documentaristes poursuivent une réflexion publique dans un atelier ouvert à tous, une réflexion qui réactive un espace critique susceptible d’explorer la puissance d’un cinéma documentaire s’attachant à renouveler ses formes et son mode de présence au monde.
